A propos d’Anne-Laure Delpech

Salariée au départ, consultante ensuite, facilitatrice maintenant, j’ai connu des statuts variés, des technologies très diverses, des modèles allant de la grande série à la petite série en passant par la fabrication à l’affaire.

Au fil du temps, j’ai accompagné des PME et TPE de l’agro-alimentaire, la mécanique, le bâtiment, la plasturgie, la menuiserie, la cosmétique, …  et même des établissements publics (HLM) ou de plus grosses entreprises (électronique, automobile), en Bretagne et parfois beaucoup plus loin.

Et surtout, j’ai rencontré des femmes et des hommes, j’ai grandi à leur contact. J’ai ainsi appris à voir que la « technique » n’est rien sans les humains, que les plus beaux systèmes résistent rarement à l’épreuve de la réalité. Progressivement, ces expériences m’ont construites, ont nourri ma réflexion et ma pratique.

Une méthodologie rigoureuse

Pour aider les PME et TPE à trouver leur modèle de réussite, les participants questionnent leur situation, partagent leurs points de vue, trouvent des idées innovantes et réalistes et les mettent en oeuvre par des expérimentations successives. Il s’agit à la fois d’apprendre en faisant et d’améliorer significativement.

Passion et enthousiasme

Je travaille avec des PME depuis ma sortie d’études (1989 !) et j’aime ça ! J’aime leur réactivité, leur goût pour le concret, le simple et l’efficace. Ce qui m’enthousiasme, c’est que je contribue à libérer leurs forces, et celles de la société qui m’entoure.

Créativité et Curiosité

Deux qualités essentielles soutiennent ma méthode : la créativité pour sortir du cadre, imaginer d’autres possibles et la curiosité pour aller plus loin que les évidences.

Co-construction et facilitation

La réalité, ce sont les personnes qui travaillent au quotidien dans l’entreprise qui la connaissent le mieux. En même temps, ce sont ces personnes qui maintiennent le système, avec ses forces et ses faiblesses. Pour transformer l’entreprise, il faut s’appuyer sur ces personnes, en les aidant à voir d’autres possibilités et choisir celles qu’ils peuvent mettre en oeuvre.

C’est pour cela que je me suis progressivement éloignée de la posture du « consultant », celui qui sait, pour prendre celle du « facilitateur », qui développe l’intelligence collective, fait émerger les richesses de tous dans l’entreprise (voir mon article « Consultant ou facilitateur ? Ma décision est prise !« ).

Le nouveau fonctionnement, co-construit, est simple et efficace puisque bien adapté à la réalité.

Questionner, recadrer

L’entreprise a en général les ressources nécessaires à l’amélioration, mais elle ne le sait pas ! En questionnant, les équipes regardent les choses autrement, voient la situation autrement. Et de ces lectures nouvelles (recadrage) émergent des solutions réalisables.

Pour sortir des opinions et croyances toutes faites, l’idéal est d’apprendre à questionner, observer, et… écouter.

Ce qui m’enthousiasme encore plus, c’est que j’ai l’impression de contribuer à libérer les forces, de l’économie, mais aussi de la société qui m’entoure. C’est ce que je veux continuer à faire, toujours mieux !

Pour celà, je m’appuie sur mes qualités principales et j’améliore progressivement ma méthode.

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