Managers, dirigeants, utilisez-vous vos échecs pour réussir ? Et si nous nous inspirions de Thomas Edison, père d’inventions qui ont changé nos vies (l’électricité et sa distribution dans les maisons et entreprises par exemple…).
Son succès est dû en grande partie à sa capacité à utiliser ses échecs pour progresser. Finalement, on pourrait dire que l’échec n’est que dans notre tête et qu’il n’est qu’une étape normale de la réussite !
L’échec est trop souvent vu comme la fin d’un projet
« Beaucoup d’échecs sont simplement le fait de gens qui ne se sont pas rendus compte à quel point ils étaient près du succès quand ils ont abandonné ». Edison aurait dit ça en 1877. Il a utilisé chacun de ses échecs pour construire son incroyable succès.
Edison considérait qu’un échec signifiait simplement que l’hypothèse formulée était fausse. Il ne se décourageait pas et étudiait de nouvelles théories, à valider de nouveau. C’est ainsi qu’il aurait construit 3000 théories différentes pour concevoir la lampe électrique. Seules deux expérimentations ont été des succès !
Chaque fois qu’on échoue, on réussit !
En fait, comme Edison, chaque fois qu’on entreprend quelque chose qui ne marche pas, on a réussi à prouver que ça ne fonctionne pas. On peut donc laisser de côté la théorie ainsi remise en cause et poursuivre avec d’autres théories. Jusqu’au jour où on réussit.
Essayer, essayer et la réussite viendra
Nous évitons trop souvent de se lancer dans des projets de changement de peur d’échouer. Il nous suffit de décider que chaque pas est un essai et de traiter les échecs comme des étapes vers la réussite. Alors lançons-nous et ne nous laissons pas décourager. Apprenons de nos échecs et nous réussirons.
Cet article est inspiré de la page 72 du livre « changez de vie en 7 jours », dePaul McKenna ((lien Amazon).
Et vous, comment vivez-vous vos échecs ? Laissez un commentaire pour en parler.
Merci Anne-Laure, c’est tellement vrai qu’il vaut mieux se mettre en mouvement avec le risque (ou plutôt la chance) d’échouer pour finir par réussir que de ne rien faire du tout ! Mais on a tendance à l’oublier et à subir la pression perfectionniste de performance dans laquelle on vit (et qu’on véhicule) et qui dit qu’il faut absolument réussir du 1er coup sinon … sinon … Quel dommage !